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« Idéal courtois » : différence entre les versions

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'''Idéal courtois'''{{references}}[[Compagnon (supplément)|Compagnon]],  pp.85-86{{voiraussi}}Amoureux (6), Bateleur (1), Bertrand de Born, Chrétien de Troyes, Cours d'Amor, Eglise Romaine, Guillaume d'Aquitaine{{concept}}
L'[[Idéal courtois]] est une opération d'envergure lancée conjointement par l'[[Arcane de l'Amoureux]] et l'[[Arcane du Bateleur]] vers le XIIIème siècle, pour contrebalancer les penchants guerriers de l'élite nobiliaire et tenter de répandre un message de tolérance et de sagesse. Le mouvement, favorisé par les troubadours, partit d'Aquitaine et du comtat toulousain pour se répandre dans toute l'Europe occidentale.
 
Le mouvement fut initialisé par [[Guillaume d'Aquitaine]], un [[Adopté]] de l'[[Arcane VI]], avec la célébration des chansons de geste arthurienne et d'autres contes merveilleux, qui étayèrent l'établissement des premières [[Cours d'Amor]]. De grands défilés oniriques permirent de stabiliser les [[Akashas]] et de favoriser l'expansion de l'[[Amoureux]].
 
Parallèlement, l'[[Arcane du Bateleur]] travailla sous le couvert de [[Bertrand de Born]] et de [[Chrétien de Troyes]] à la transmission de messages ésotériques dans les chants de l'[[Idéal courtois]], de façon à communiquer des savoirs relatifs à la [[Magie]], à la [[Kabbale]] ou même aux significations profondes du règne oublié d'[[Arthur]].
 
{{references}}[[Compagnon (supplément)|Compagnon]],  pp.85-86{{voiraussi}}Amoureux (6), Bateleur (1), Bertrand de Born, Chrétien de Troyes, Cours d'Amor, Eglise Romaine, Guillaume d'Aquitaine{{concept}}
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