« Corps » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Les deux [[Corps]] de la tradition amérindienne sont les éléments d'une théorie présentée par les chamans des tribus de la [[Terre Sacrée]]. Ils estiment que chaque être est formé de deux corps : le corps matériel, qui permet de se mouvoir sur le sol de [[Wakan Maka]], et le corps extérieur, ou [[Wana'gi]], destiné à voyager pendant le sommeil vers le [[Monde des Esprits]]. Néanmoins, seuls les grands chamans et quelques hommes de fort caractère, [[Simulacres]] de [[Wowakan]], peuvent faire se voyage et regagner leur corps matériel. | Les deux [[Corps]] de la tradition amérindienne sont les éléments d'une théorie présentée par les chamans des tribus de la [[Terre Sacrée]]. Ils estiment que chaque être est formé de deux corps : le corps matériel, qui permet de se mouvoir sur le sol de [[Wakan Maka]], et le corps extérieur, ou [[Wana'gi]], destiné à voyager pendant le sommeil vers le [[Monde des Esprits]]. Néanmoins, seuls les grands chamans et quelques hommes de fort caractère, [[Simulacres]] de [[Wowakan]], peuvent faire se voyage et regagner leur corps matériel. | ||
{{references}}[[Exils (supplément)|Exils]], p.124{{voiraussi}}Monde des Esprits, Tradition Rouge{{concept}} | {{references}}[[Exils (supplément)|Exils]], p.124{{voiraussi}}[[Monde des Esprits]], [[Tradition Rouge]]{{concept}} | ||
Dernière version du 30 mars 2020 à 22:54
Les deux Corps de la tradition amérindienne sont les éléments d'une théorie présentée par les chamans des tribus de la Terre Sacrée. Ils estiment que chaque être est formé de deux corps : le corps matériel, qui permet de se mouvoir sur le sol de Wakan Maka, et le corps extérieur, ou Wana'gi, destiné à voyager pendant le sommeil vers le Monde des Esprits. Néanmoins, seuls les grands chamans et quelques hommes de fort caractère, Simulacres de Wowakan, peuvent faire se voyage et regagner leur corps matériel.
Références dans les suppléments suivants
Exils, p.124