De Sulphure
De Sulphure
Ce traité de forme ovale, avec une armature de cuivre est écrit dans un sabir mélangeant français, anglais, celtique et énochéen.
Œuvre de jeunesse du Cosmopolite, l’ouvrage décrit l’opus alchimique sous une forme ironique, dressant un portrait peu élogieux de l’alchimiste ; un bandit cousu d’or.
Il n’existe que dix-neuf copies que possédait initialement le disciple du Cosmopolite, Sendivogius. Quatre seulement figurent encore dans les collections officielles de bibliothèques européennes.
En première édition, il s'agit d'un focus d'Oeuvre au Noir contenant les formules suivantes :
- Dissolvant de feu, dans un passage consacré à l’orfèvrerie alchimique
- Désintégration du séjour du dormeur du terreau , dans un passage montrant la destruction de la terre pour s’échapper d’une prison
- Réduction des esprits ignés , dans les auréoles pourpres qui parsèment les pages.
- Evaporation du charbon nocturne , dans la description des trajets clandestins à travers l’Europe
- Putréfaction de l’aile de corbeau , dans l’armature de cuivre, qui dévoile aussi des enseignements sur le 3e degré du Temple.
En quatrième édition, il explore la face belliqueuse de la Chrysopée et son étude dévoile les formules suivantes :
- Coagulation des geôles basaltiques
- Coction de l’emblème du juste
- Détonation foudroyante des écuries de Jupiter
Références dans les suppléments suivants
Alchimie, pp.47-50
Nephilim IV - Codex du Feu, p. 22
Voir aussi les concepts suivants
Alchimie, Chrysopée, Cosmopolite, Oeuvre au Noir, Sendivogius