Symphonie pour Gabriella
Symphonie pour Gabriella
Il s'agit d'une œuvre pour orchestre symphonique qui ne put faire face à la comparaison avec l'œuvre de Wagner et sombra dans l'oubli. C'est pourtant une symphonie très différente, marqué par des accents de désespoir rare et touchant. Car cette œuvre tragique raconte la perte de son unique fille, morte à la naissance, puis celle de son épouse qui se suicida peu après. L'auteur consacra douze années à produire cette œuvre, avant de décéder lui-même... laissant les Nephilim dans l'expectative, car plus jamais l'Onirim compositeur ne réapparut.
En première édition, la Symphonie pour Gabriella est un focus qui contient plusieurs sortilèges de Haute Magie :
- Verdict loyal, dans l'écoute d'une représentation de la symphonie
- Volcan vocal, dans les partitions de musique
- Verbiage animal, dans le portrait du compositeur
- Œil inquisiteur, dans l'autobiographie de l'auteur
- Sculpture faciale, dans les notes du crescendo qui amorce l'œuvre.
En quatrième édition, il contient les habitus de Haute Magie :
- Des tsunamis, je suis le Prince
- L'usure est mon alliée
- Parfois, je revêts le monde d'un manteau de brume
Références dans les suppléments suivants
Magie, p.85